Les 3 piliers de la naturopathie sont : l’alimentation, l’exercice physique et la gestion mentale. Ce que le naturopathe va faire à titre préventif est donc d’activer, de nourrir et de renforcer la force vitale, de désintoxiquer par les drainages, d’accompagner votre félin de manière naturelle (plutôt que d’éliminer les symptômes ou attaquer directement les agents pathogènes), diminuer les effets secondaires des médicaments, augmenter son immunité afin que l’organisme soit capable de combattre la maladie et enfin calmer et relaxer.
Voici la définition actuelle donnée par le Larousse Medical : « La Naturopathie repose sur une théorie selon laquelle la force vitale de l’organisme permet à celui-ci de se défendre et de guérir spontanément. Les interventions du naturopathe visent donc à activer, nourrir et renforcer cette force vitale plutôt qu’à éliminer des symptômes ou attaquer directement des agents pathogènes. »
Les 3 piliers de la naturopathie « humaine » sont : l’alimentation, l’exercice physique et la gestion mentale.
En bien-être animal, on peut transposer cette même définition, à savoir : renforcer la force vitale de votre félin afin que son organisme puisse faire face aux agressions extérieures, en tenant compte de son alimentation, de l’exercice physique qu’il pratique (se défouler à l’extérieur ou dans la maison grâce à des jeux adéquats) et de sa gestion mentale, à savoir, si votre matou est stressé, il pourra développer certaines pathologies ou certains troubles du comportement.
Ce que le naturopathe va faire à titre préventif est donc d’activer, de nourrir et de renforcer la force vitale, de désintoxiquer votre animal par les drainages, de l’accompagner de manière naturelle plutôt que d’éliminer les symptômes ou attaquer directement les agents pathogènes, diminuer les effets secondaires des médicaments, augmenter son immunité afin que l’organisme soit capable de combattre la maladie et enfin le calmer et le relaxer. Tout ceci, bien sûr, en complément aux soins apportés par le vétérinaire.
Le chat est un chasseur carnivore qui, dans la nature, mange plusieurs fois par jour des petites proies. Le chat mastique peu et le processus de digestion commence directement dans l’estomac qui est de petite taille mais qui possède un pH très acide, utile pour prévenir les infections digestives. Son intestin est plutôt court (environ un mètre pour l’intestin grêle et de 20 à 40 centimètres pour le gros intestin), c’est pourquoi il doit manger fréquemment mais en petites quantités. On conseille en général 3 à 4 repas par jour. La brillance du pelage et la stabilité du poids confirment bien que votre protégé reçoit une quantité nutritionnel correcte.
D’après certains vétérinaires, le fait d’avoir une nourriture à disposition toute la journée est une idée reçue totalement fausse. L’alimentation chiens et chats est sujette à bien des controverses !
On pourrait définir 3 types de menu : Le menu « proies », le menu industriel et le menu-maison.
Lorsque le chat dévore sa proie, il consomme généralement tout sauf la tête, les pattes et la vésicule biliaire. Il a ainsi un apport équilibré en protides, lipides, vitamines, sels minéraux etc. La question que l’on peut se poser est celle de l’alimentation des proies elles-mêmes. Par exemple les oiseaux et les rongeurs qui se nourrissent de vers, d’insectes et de végétaux qui proviennent souvent de lieux contaminés par des produits phytosanitaires et qui se retrouvent dans l’organisme des proies ou des prédateurs, n’est pas si naturel que ça !
Il est évident qu’une nourriture crue comporte plus de germes que les pâtées et croquettes qui ont été chauffées à très haute température. L’alimentation bARF, mise au point par un vétérinaire australien, est constituée en majorité par des abats et os crus mais est assez controversée car la consommation d’aliments crus présente un risque de contamination microbienne et parasitaire si l’on n’emploie pas des matières de première qualité.
Souvent les gens « pro cru » pensent bien faire en ne donnant que de la viande ou du poisson, ce qui constitue un apport largement excessif en protéines et aura, à long terme, des conséquences sur les reins.
Dans l’alimentation industrielle, à savoir les pâtées et croquettes, le pire côtoie le meilleur… Il est important de bien lire la liste des ingrédients, des colorants et des conservateurs. Il existe des aliments industriels de qualité et biologiques. Leur prix est plus élevé, mais soit on investit dans une nourriture saine et bio, soit on investit, quelques années plus tard, dans les frais de vétérinaire !
Quant au menu-maison, menu réalisé par vos soins avec des produits sains et bio contenant des protéines à 50 %, 20% de céréales très cuites comme le quinoa, le blé, le riz ou le millet et 20 % de légumes verts cuits, le restant en compléments de vitamines tels que de la levure de bière, silicium organique, spiruline, curcuma, probiotiques ou des huiles de première pression à froid. Le menu varie bien entendu selon l’état de santé et l’âge du chat.
Le chat n’étant généralement pas un grand buveur, la gamelle d’eau est indispensable et doit toujours être laissée en libre service.
Pourquoi jouer avec votre chat ? Le jeu chez le chat débute dès le plus jeune âge et a des bienfaits fondamentaux pour la bonne évolution de votre petit compagnon.
Chez le chaton, il permet de développer sa musculature, sa coordination, d’adapter sa vitesse et d’estimer la distance pour capturer ses proies. Il va également permettre à votre ami chaton de le rendre plus confiant, sociable, d’éveiller son attention, de découvrir son environnement et de nouer des liens avec les autres (chat ou humain). L’amusement chez le chaton est donc un mécanisme d’apprentissage essentiel.
Pour le chat adulte, le jeu permettra d’améliorer ou de résoudre certains comportements inadéquats comme par exemple la mal-propreté, de diminuer le stress, l’anxiété ou la dépression, de l’aider à perdre du poids, d’améliorer son état général, de se sentir bien dans un nouveau lieu et de maintenir ou renforcer la complicité entre vous et votre minou.
Prédateur né, votre chat ou votre chaton, quel que soit son âge, aura donc besoin de jouer, d’exprimer son comportement instinctif, surtout s’il n’a pas la possibilité de sortir à l’extérieur.
Il est important de jouer plus ou moins 15 minutes 2 à 3 fois par jour. Les moments de jeu doivent respecter les rythmes, les envies et les phases d’éveil de votre petit protégé. Il est important que le jeu corresponde à la personnalité et aux aptitudes de votre chat. Vous n’allez pas jouer de la même manière avec votre chaton qu’avec votre chat de 15 ans d’âge. Jouer avec votre félin pourra vous demander parfois un petit effort mais vous ne vous en passerez plus car cela aura une influence délassante et apaisante sur vous-même.
Chaque chat est différent et a sa propre personnalité. De manière générale, je dirais qu’un chat est heureux lorsqu’il joue, lorsqu’il est stimulé, lorsqu’il mange correctement, lorsqu’il peut faire ses griffes en toute liberté sur des griffoirs adaptés, quand il a ses petits coins de repos, quand il peut faire ses besoins en toute intimité, qu’il reçoit de l’amour, de l’affection et de l’attention de ses propriétaires, qu’il ronronne lorsque vous le caressez, qu’il peut sortir dans un environnement sécurisé. Le chat est très sensible au moindre changement, il vaut donc mieux lui éviter de lui créer du stress.
Vous partagez votre quotidien avec un ou plusieurs chats et aimeriez comprendre plus en profondeur certaines attitudes ou réactions ? Vous avez le sentiment que vous pouvez aller plus loin au niveau de la relation avec votre chat pour son bien-être mais aussi le vôtre mais cela vous semble trop compliqué ou inaccessible ? N’hésitez pas à vous inscrire pour la Formule Louise en CLIQUANT ICI